« Le verre reflète le Louvre et le ciel, jouant ainsi avec la lumière de Paris, et la lumière de Paris est belle parce qu’elle change sans arrêt. » disait l’architecte sino-américain de la Pyramide du Louvre : Leoh Ming Pei.

 

Le Louvre fut tour à tour ou en parallèle, une forteresse, un château-fort, un palais royal, des académies de sciences et d’arts, un ministère avant d’être un musée à part entière ( le Grand Louvre) d’où émerge une grande pyramide parisienne [1] qui :

  • tangente à la fois l’axe royal est ouest et l’axe méridien nord sud de Paris [2],
  • peut être pythagoricienne [3] pour les matheux et un lieu d’exposition pour les artistes,
  • abrite sous ce puits de lumière, le point de convergence des trois accès principaux du musée à savoir les ailes Sully, Denon et Richelieu (c’est le cas de le dire que ce lieu est riche),
  • est l’écrin transparent d’œuvres d’art des plus brillantes au plus lumineuses,
  • sait s’effacer le temps d’un trompe l’œil [4],
  • est déclinée à l’envers, à une échelle réduite (plus de deux fois plus petite), plus connue comme la pyramide inversée du Louvre sous le Carrousel marquant l’entrée principale du musée en sous-sol ,
  • enfin et surtout a su prendre une place de choix dans son environnement devenant une oeuvre à part entière malgré les protestations lors de sa construction entre 1985 et 1989 ( 30 ans en 2019).